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bio

Après 10 ans de cours de piano, je ne savais toujours que lire une partition. Pour ma majorité, j'ai donc demandé à papa et maman de m'offrir une guitare sèche, pour pouvoir continuer à faire de la musique mais autrement. C'était avant le temps d'internet et des ordinateurs. Je me suis donc retrouvée à occuper mes soirées solitaires d'étudiante à... écrire des chansons! Ah, le bon vieux temps où mon addiction à l'écran et aux séries n'existait pas. Beaucoup de chansons datent de cette époque, de Poitiers. Le nom aussi. Lancé par un pote peintre, un peu éméché, qui se faisait reprocher de faire un mélange de Pollock et de Kandinsky, il répondit maladroitement "Mais moi j'en rien à foutre de Pollock ou de mes couilles..ensky". Dix ans plus tard, quand on m'appelle par mon vrai nom, j'ai du mal à me reconnaître.

Aujourd'hui, j'utilise cette guitare et le nom de Florence Mekouyensky pour tenter de faire des chansons drôles et touchantes, parfois un peu méchantes. J'essaye de raconter ce qui me passe par la tête qui pourrait aussi traverser la vôtre; de mettre des mots et de la distance sur ce monde de merde. C'est pas parce que le monde il est pourri que nous aussi on doit l'être, et vaut mieux en rire que s'en foutre, comme disait l'autre.

Si vous cherchez quoi mettre pour annoncer un concert, voilà quelques idées:

Style: chanson (f)rance-aise, chanson acide, An-arco Sylvestre...

La présentation de la tournée de 2011:

"Seule avec une guitare deuxième prix, une dizaine d’accords de base, quelques rancoeurs, de la nostalgie et de l’humour, Florence Mekouyensky nous offre un spectacle à la fois drôle et touchant."
Totorama, août 2010

"La simplicité et la mauvaise qualité musicale mettent en valeur la recherche poétique des textes qui ne sont pas sans rappeler un certain Marcel Proust."
Un type chiant sur France Culture, un matin

"C’est l’avènement de la nouvelle nouvelle chanson française, débile et engagée."
La Lémurie libertaire, 2011.

"De l’émotion à en faire pleurer nos plus virils et peu cérébrés amis."
Barricata, septembre 2012.